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2024
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12 août 2024, CNESER, n°1666
La décision permet de penser qu’une évolution s’amorce au sein du CNESER concernant les faits de viol. Sans qualifier les faits de « viol » probablement du fait qu’il s’agit d’une qualification pénale, les juges retiennent la faute grave de l’étudiant pour avoir imposé une… » Lire la suite
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4 juillet 2024, CNESER, n°1680
L’étudiante a bien subi un baiser sur la bouche, mais le professeur n’a pas commis de faute car il a « mal interprété le comportement » de l’étudiante avec laquelle il n’avait pas de lien hiérarchique et a pu considérer qu’elle avait commencé à nouer une relation… » Lire la suite
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27 juin 2024, CNESER, n° 1561
Les sections disciplinaires doivent être vigilantes sur la qualification juridique qu’elles donnent aux faits à l’origine de la sanction. Le CNESER annule en effet la sanction car la section n’aurait pas dû qualifier les faits de harcèlement sexuel et moral, motif non argumenté et assez… » Lire la suite
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27 juin 2024, CNESER, n°1657
Le CNESER n’hésite pas à nommer les violences sexuelles commises avec les qualifications pénales prévues dans le Code pénal, ce qu’il peut reprocher aux sections disciplinaires dans d’autres décisions(Cf CNESER, 27 juin 2024, n° 1561) » Lire la suite
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24 avril 2024, CNESER, n°1433
La longueur des procédures et la capacité financière des mis en cause de les mener, peut leur permettre de n’être finalement jamais sanctionnés. En raison des recours juridiques, le CNESER statue 7 ans après la décision de la section disciplinaire alors que le maître de… » Lire la suite
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24 avril 2024, CNESER, n°1437
Encore une fois, la longueur des procédures joue au bénéfice des mis en cause. Dans cette affaire, le CNESER reproche aux plaignantes de n’avoir pas comparu à son audience de 2024 c’est-à-dire de ne pas confirmer leurs accusations six ans après le début de la… » Lire la suite
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27 mars 2024, Conseil d’État, n°470787
Le fait pour un professeur des universités d’embrasser une seule fois une étudiante dont il encadre le mémoire, si les faits n’ont pas eu de conséquence sur la scolarité de l’étudiante et que le professeur s’est excusé, n’est pas une faute disciplinaire. » Lire la suite
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1er mars 2024, Conseil d’État, 4e ch, n°469941
Sous peine d’irrégularité de la procédure, lorsqu’un élément nouveau présentant un caractère substantiel est communiqué par l’une des parties après la clôture de l’instruction, l’instruction doit être ré-ouverte par le président du CNESER afin que la commission d’instruction le prenne en considération dans son rapport… » Lire la suite
2023
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20 décembre 2023, Conseil d’État, n°468551
Voir CNESER 27 juin 2024 et 6 juillet 2022, n°1561 » Lire la suite
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4 septembre 2023, CNESER, n°1609
La relaxe prononcée par le CNESER, dont la motivation est assez opaque, semble être significative d’un dossier mal instruit au départ tant par l’université elle-même (pas d’enquête administrative) que par la section disciplinaire qui n’a pas, selon le CNESER, réalisé d’enquête contradictoire. Le fait que… » Lire la suite
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22 août 2023, Conseil d’État, 4e ch, n°459703
https://www.legifrance.gouv.fr/ceta/id/CETATEXT000047988501 Voir CNESER 24 avril 2024 et 13 octobre 2021, n°1437 » Lire la suite
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14 juin 2023, CNESER, n°1435
Le CNESER rejette la demande de sursis à statuer dans l’attente de l’instruction criminelle en cours, présentée par l’avocat de l’étudiant mis en cause. Il se prononce sur l’existence d’un harcèlement sexuel, en l’espèce caractérisé, et soutient qu’il appartient au juge pénal le soin de… » Lire la suite
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9 mai 2023, CNESER, n°1602
Le CNESER considère que l’étudiant « n’a pas eu de geste déplacé ni de propos à caractère sexuel visant spécifiquement des étudiantes ». Il mettait « mal à l’aise les étudiantes » par des agissements qui peuvent être qualifiés de harcèlement sexuel mais « sans capacité à évaluer ce que… » Lire la suite
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15 mars 2023, CNESER, n° 1468
Cette décision illustre la manière dont le CNESER tend à ne pas répondre aux critiques émises par le Conseil d’État sur l’absence de motivation de ses décisions. En l’occurrence, il motive la réduction de la sanction prononcée par la section disciplinaire exactement de la même… » Lire la suite
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10 mars 2023, Conseil d’État, n°45660
Voir CNESER, 24 avril 2024 et 8 juillet 2021, n°1433 » Lire la suite
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18 janvier 2023, CNESER, n°1736
L’intérêt de cette décision porte sur la défense du mis en cause. Le maître de conférences n’a visiblement aucune conscience des rapports de domination hommes/femmes et de hiérarchie au sein de l’université en prétendant que « le fait d’avoir, une seule et unique fois, tenté… » Lire la suite
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18 janvier 2023, CNESER, n°1434
Le CNESER motive la relaxe notamment au regard du comportement attendu d’une « bonne » victime de violences sexuelles pour discréditer son témoignage. » Lire la suite
2022
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23 décembre 2022, Conseil d’État, n°452944
Voir CNESER, 14 juin 2023 et 17 mars 2021, n°1435 » Lire la suite
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24 novembre 2022, CNESER, n°1626
La commission d’instruction de la section disciplinaire doit veiller à présenter un rapport objectif des faits. Visiblement, elle n’avait pas ici rapporté les éléments présentés par la défense. Le fait que le mis en cause est pris la mesure de ses agissements motive une diminution… » Lire la suite
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24 novembre 2022, CNESER, n°1681
Un étudiant qui commet des faits d’agression sexuelle à l’extérieur de l’établissement d’enseignement supérieur peut porter atteinte à l’ordre et au bon fonctionnement de celui-ci et être sanctionné par la section disciplinaire. Ces violences ne relèvent pas de la vie privée. » Lire la suite
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24 novembre 2022, CNESER, n°1679
La motivation sibylline du CNESER ne nous ne renseigne pas beaucoup sur ce dossier disciplinaire. Cependant, on peut retenir de cette décision qu’une année de harcèlement sexuel par un étudiant sur des étudiantes vaut 3 années d’exclusion de tout établissement d’enseignement supérieur, tandis qu’un maître… » Lire la suite
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23 novembre 2022, CNESER, n°1574
C’est à l’enseignant de garder ses distances avec les étudiantes alors qu’il est en position de domination académique. » Lire la suite
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20 octobre 2022, CNESER, n°1573
Voir censure CE, 1er mars 2024, n°469941 » Lire la suite
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19 octobre 2022, CNESER, n°1576
Voir validation par CE, 27 mars 2024, n°470787 » Lire la suite
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21 septembre 2022, CNESER, n°1402
La décision du CNESER n’est pas motivée ni circonstanciée sur les éléments qui le poussent à relaxer ce professeur des universités pour la seconde fois. » Lire la suite
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21 septembre 2022, CNESER, n°1716
La commission d’instruction de la section disciplinaire doit soumettre au débat contradictoire les témoignages – en l’occurrence anonymisés — réunis en amont lors de l’enquête administrative réalisée par l’université pour respecter les droits de la défense. » Lire la suite
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6 juillet 2022, CNESER, n°1561
Voir CNESER, 27 juin 2024, n°1561 ; CE, 20 décembre 2023, n°468551 » Lire la suite
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20 juillet 2022, Conseil d’État, n°444667
Voir CNESER, 15 mars 2023 et 8 juillet 2020, n°1468 » Lire la suite
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12 juillet 2022, CNESER, n°1662
L’exercice de violences conjugales d’un étudiant sur une enseignante, même si elles ont lieu en partie en dehors de l’établissement, peuvent donner lieu à sanction. Il osait prétendre devant le CNESER « qu’unis [avec elle] par un Pacs [il] était en son bon droit lorsqu’il a… » Lire la suite
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12 juillet 2022, CNESER, n°1661
Des agressions sexuelles commises en dehors de l’établissement d’enseignement par un étudiant contre une étudiante de sa promotion, peuvent faire l’objet d’une sanction disciplinaire. » Lire la suite
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21 juin 2022, CNESER, n°1624
Le CNESER fait application de la technique du faisceau d’indices pour retenir l’agression sexuelle : reconnaissance d’une agression au moins physique par l’étudiant mis en cause, récit précis de la victime, attestation d’un psycho-traumatologue, conséquences sur la santé et la scolarité de la victime attestées au… » Lire la suite
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14 juin 2022, CNESER, n° 1627
Avec cette décision peu motivée, il est difficile d’en tirer un enseignement. Cependant, il apparaît comme pour un certain nombre d’autres décisions que la répercussion des faits sur la santé des victimes ait un impact important sur le niveau de sanction prononcé. » Lire la suite
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24 mai 2022, CNESER, n°1614
Le fait pour un étudiant de commettre un viol (qualifié de « harcèlement » par la section disciplinaire, mais jugé comme une agression sexuelle par un Tribunal correctionnel après correctionnalisation) sur une étudiante porte atteinte à l’ordre et au bon fonctionnement de l’université en raison de la… » Lire la suite
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13 avril 2022, CNESER, n°1560
Le 11 juillet 2019, la section disciplinaire du conseil académique de l’université de Tours à prononcé l’exclusion définitive de tout établissement public d’enseignement supérieur pour une durée de trois ans à l’encontre d’un étudiant. » Lire la suite
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13 avril 2022, CNESER, n°1569
Le 7 juin 2019, la section disciplinaire du conseil académique de l’université Paris-Est Marne-la-Vallée a prononcé une exclusion de l’établissement pour une durée de cinq ans contre un étudiant pour avoir commis des faits de harcèlement à l’égard d’une camarade, madame A, au moyen de… » Lire la suite
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13 avril 2022, CNESER, n°1401
Cette décision a le mérite de se pencher sur des violences dites conjugales commises par un étudiant en droit. Ce dernier a adopté une défense particulièrement machiste consistant à dire que la victime serait « [de] mauvaise foi et ne chercherait qu’à se venger suite à… » Lire la suite
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14 mars 2022, Conseil d’État, n°446009
Voir CNESER, 21 septembre 2022 et 10 septembre 2020, n°1402 » Lire la suite
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9 mars 2022, CNESER, n°1556
On peut relever ici une défense, celle du complot qui en l’occurrence serait fomentée par des militantes féministes et donc celle de la victimisation du mis en cause. L’étudiant harceleur invoquait une cabale contre lui prétendant que « ces jeunes femmes n’expriment qu’un ressenti, accentué par… » Lire la suite
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9 février 2022, CNESER, n°1585
Le fait que le CNESER ait lui-même entendu des femmes victimes en audience semble avoir été déterminant dans ce dossier. Le CNESER est saisi directement par le président de l’université car la section disciplinaire ne s’est pas réunie dans les six mois. Il prononce la… » Lire la suite
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12 janvier 2022, CNESER, n°1694
Les membres siégeant dans la commission d’instruction d’une section disciplinaire ne peuvent pas siéger ensuite dans la formation de jugement. Les témoignages des victimes peuvent être anonymisés, mais il n’est pas possible que l’ensemble des témoignages à l’appui d’une sanction le soient. » Lire la suite
2021
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21 décembre 2021, Conseil d’État, n°444621
Voir CNESER, 18 janvier 2023 et 8 juillet 2020, n°1434 » Lire la suite
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13 octobre 2021, CNESER, n°1437
Voir CNESER, 24 avril 2024, n°1437 et CE , 22 août 2023, n°468551 » Lire la suite
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8 juillet 2021, CNESER, n°1527
Le CNESER rappelle que le motif de partialité des membres d’une section disciplinaire doit être soulevé dès que le mis en cause en a connaissance et ne peut plus l’être à la fin de l’audience, à peine d’irrecevabilité. Le manque de précisions de cette décision… » Lire la suite
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8 juillet 2021, CNESER, n°1433
Voir CNESER, 24 avril 2024, n°1433 et CE, 10 mars 2023, n°456602 » Lire la suite
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16 juin 2021, CNESER, n°1436
L’Université de Grenoble-Alpes n’a pas elle-même fait appel de la décision de la section disciplinaire. Au vu du comportement répété de l’étudiant, de ses dénégations, et des sanctions habituellement prononcées ou validées par le CNESER contre des étudiants, nous pouvons penser que la sanction aurait… » Lire la suite
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8 avril 2021, CNESER, n°1428
L’appel d’une sanction prononcée par une section disciplinaire est sans objet dès lors que l’exclusion décidée prenait fin à date certaine et que cette date est passée à la date de l’appel. » Lire la suite
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7 avril 2021, CNESER, n°1480
Cette décision donne à voir les représailles que peuvent subir les victimes de violences sexuelles par les harceleurs, lorsqu’elles tentent de faire cesser leurs agissements. » Lire la suite
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7 avril 2021, CNESER, n°1373
L’argument par le mis en cause d’une dépression expliquant ses agissements de harcèlement sexuel ne semble pas toucher le CNESER de la même manière que lorsqu’il émane d’un maître de conférence (voir CNESER, 8 juillet 2021, n°1527) » Lire la suite
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24 mars 2021, CNESER, n°1469
L’étudiant poursuivi a servi au CNESER la défense éculée du complot contre lui de la part des nombreuses personnes victimes de ses violences. Sans succès. Le fait que l’étudiant ait terminé ses études et soit diplômé ne rend pas le CNESER incompétent à se prononcer… » Lire la suite
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17 mars 2021, CNESER, n°1454
Le 11 juin 2018, la section disciplinaire du conseil académique de l’université Polytechnique Hauts-de-France a prononcé contre un étudiant l’exclusion de l’établissement pour une durée de trois ans (décision immédiatement exécutoire nonobstant appel). » Lire la suite
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17 mars 2021, CNESER
Voir CNESER, 14 juin 2023, n°1435 et CE, 23 décembre 2022, n°452944 » Lire la suite
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17 mars 2021, CNESER, n°1396
L’appel devant le CNESER doit être réalisé dans le délai de deux mois après la notification de la décision de la section disciplinaire. Ce délai peut-être suspendu par le dépôt d’une demande d’aide juridictionnelle, mais faut-il encore prouver ce dépôt. » Lire la suite
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17 mars 2021, CNESER, n°1346
Le 24 avril 2017, la section disciplinaire du conseil académique de l’université de Montpellier a prononcé contre un étudiant en troisième année de licence d’économie, l’exclusion de tout établissement d’enseignement supérieur pour une durée de deux ans (décision immédiatement exécutoire nonobstant appel). » Lire la suite
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27 janvier 2021, CNESER, n°1313
Cette décision est encore une fois assez peu motivée. Il semble que l’absence de l’étudiant convoqué devant le CNESER pour être entendu n’ait pas joué en sa faveur pour entendre ses explications sur les faits et faire droit à sa demande de diminuer la sanction. » Lire la suite
2020
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9 octobre 2020, Conseil d’État, n°425459
Le Conseil d’État se prononce dans cette longue décision, sur plusieurs arguments de procédure soulevés par le mis en cause, dont deux seront mis en exergue. Le professeur contestait notamment le fait que le CNESER ait joint les deux procédures distinctes dans lesquelles il était… » Lire la suite
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16 septembre 2020, CNESER, n°1315
Le 14 mars 2017, la section disciplinaire de l’École Centrale de Nantes a prononcé une exclusion de l’établissement pour une durée de deux ans (décision immédiatement exécutoire nonobstant appel). Il lui était reproché d’avoir, pendant le trajet en bus allant de l’École au site où… » Lire la suite
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16 septembre 2020, CNESER, n°1643
Les décisions des sections disciplinaires doivent être motivées comme le prévoit l’article R. 712–41 du Code de l’éducation. Ne pas le faire constitue un vice de procédure, justifiant le sursis a exécution de la décision. » Lire la suite
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10 septembre 2020, CNESER, n°1402
Voir 21 septembre 2022, CNESER, n°1402 et CE, 14 mars 2022, n°446009 » Lire la suite
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10 septembre 2020, CNESER, n°1318
Faire des allusions personnelles à caractère sexuel à des étudiant·es de nature à porter atteinte à leur dignité lors d’un cours sur la sexualité en sociologie ne fait pas partie de la liberté académique des enseignants-chercheurs garantie par l’article L. 952–2 du code de l’éducation. » Lire la suite
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8 juillet 2020, CNESER, n°1468
Voir CNESER, 15 mars 2023, n°1468 et CE, 20 juillet 2022, n°444667 » Lire la suite
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8 juillet 2020, CNESER, n°1434
Voir CNESER, 18 janvier 2023, n°1434 et CE, 21 décembre 2021, n°444621 » Lire la suite